Issu d’une famille de quatre enfants, trois garçons et une fille, Roland Ménard, né à Saint-Blaise, une petite localité située dans le comté de Saint-Jean, s’installa à Lachute en 1935. Son père, Alfred Ménard, et son épouse, Georgiana Davignon, exploitaient alors une boulangerie située sur la rue Principale.
Entre les opérations de la Boulangerie Ménard et sa fermeture en 1951, Roland prit pour épouse, Vivian St-Éloi, le 28 octobre 1946. Entre temps, en 1943, Roland et son frère Jean-Bruno fondaient le Salon Funéraire Ménard et Ménard au 490 rue Fonderie (maintenant rue Lafleur). Jean-Bruno vend éventuellement ses actions de l’entreprise, en 1951. En 1958, Roland Ménard décida de s’installer à une toute nouvelle location.
Président du Club Richelieu de Lachute en 1969, un établissement qu’il affectionnait tout particulièrement, et membre du Conseil 2752 de l’Ordre des Chevaliers de Colomb de l’endroit, Roland Ménard était fort apprécié par son entourage et ses nombreux amis, surtout pour sa jovialité, son entregent et sa bonne humeur.
Ce dernier est subitement décédé le 14 juin 1973, au jeune âge de 52 ans. Depuis, son fils Philip a pris la relève. Roland Ménard, tel un pionnier, aura marqué sa communauté. Aujourd’hui encore, le nom Ménard est toujours vivant et actif au sein de la grande famille lachutoise.
Texte tiré de : les albums Souvenirs Québécois, Ville de Lachute, 1885-1985, page 211.
«Aujourd’hui, plusieurs membres de la famille Ménard ont fait leur place au sein de l’entreprise. C’est la troisième génération qui entre en fonction. Alexann Ménard contribue à la continuité des valeurs de l’entreprise tout en apportant une vision portée vers l’avenir.»
« Nous sommes fiers de soutenir et de venir en aide aux familles du compté d’Argenteuil avec dignité et compassion. »
Notre but premier reste toujours de vous procurer un service des plus respectueux, calme et efficace. Nous voulons vous offrir une expérience funéraire significative afin que vous puissiez dire au revoir à vos proches de la façon la plus personnelle possible.
Un mot d’Alexann…
Mon plus grand souhait est que nous puissions réussir à entrer plus de sacré à l’intérieur de nos cérémonies funéraires ou de nos cérémonies de vie. Pour moi, le mot cérémonie veut dire: prendre le temps de célébrer le sacré. Tout dans nos vies peut être interprété comme sacré, mais la cérémonie possède la fonction de nous le rappeler dans un moment et un espace précis. Quand une famille souhaite souligner non seulement le départ mais également la vie entière d’un proche disparu, nous venons souligner l’histoire sacré de cette personne. De quelle manière unique pouvons-nous rendre hommage à cette personne, tout en apportant douceur et réconfort à ses proches aimés?